photo LA JAM DU LUNDI AVEC F. CONSTANTIN

LA JAM DU LUNDI AVEC F. CONSTANTIN

Jazz - Blues

PARIS 01 75001

Le 04/04/2022 à 21:00

Edouard Bineau harmonica, Joseph Champagnon guitare/voix, Henri Dorina basse, Felix Sabal Lecco batterie, François Constantin percus/lead Depuis des décennies, le blues s'épanouit sur scène et à l'écart de chemins trop balisés en France. Le pays est même devenu une véritable terre d'accueil pour cette chère musique du diable. Genre musical vocal et instrumental dérivé des chants de travail des populations afro-américaines apparues au Mexique et aux États-Unis au courant du XIXème siècle, où le chanteur exprime sa tristesse et ses déboires ; d'où l'expression « avoir le blues ». Jo Champ, chanteur guitariste parisien, animé par la musique soul blues et pop des années 60/70 lui rend hommage, avec le rythmicien hors-pair Felix Sabbal-Lecco, sideman de Manu Dibango, Peter Gabriel, Sting, Herbie Hancock, Paul Simon et même… Prince ! - la basse de velours d'Henri Dorina et le jeu très bluesy d'Edouard Bineau qui dès l'âge de 14 ans commença à jouer de l'harmonica dans des groupes de blues. En 2014, il sort l'album “Bluezz” avec Jean-Jacques Milteau notamment. Générosité, expérience, énergie & talent garantissent l'ambiance inégalable des Jam Sessions du lundi soir.

photo KABAREH CHEIKHATES

KABAREH CHEIKHATES

Musique du monde

PARIS 19 75019

Le 09/03/2022 à 20:30

KABAREH CHEIKHATES L'HOMMAGE DES HOMMES AUX CHEIKHATES MAROCAINES Coproduction Cabaret Sauvage/Institut du monde arabe Dans Kabareh Cheikhates, des hommes habillés de robes chatoyantes, maquillés comme des stars de cinéma, interprètent un répertoire qui parcourt les siècles : celui des cheikhates, ces femmes libres mais marginalisées qui dénoncent les injustices et offrent l'ivresse des chants et des danses du patrimoine populaire marocain. Un hommage plein d'aplomb, qui brise des tabous toujours vivaces. Libres et fières mais marginalisées, les cheikhates défient les préjugés, dénoncent les injustices et offrent l'ivresse des chants et des danses du patrimoine populaire marocain. Imaginé par le metteur en scène et comédien casablancais Ghassan El Hakim, « Kabareh Cheikhates » rend hommages aux grandes cheikhates, de celles qui élevaient la voix sans hésiter dans une société proscrivant l'apparition des femmes en public : Kharboucha la rebelle qui vécut au tournant des XIXe et XXe siècles et défia le pouvoir, Zahra Elfassia, pionnière du malhoun et l'une des premières femmes de son pays à enregistrer des disques sous son nom… sans oublier le Casablancais Bouchaïb El Bidaouiqui,[...]